Morgane BRAVO, Fondatrice du HUB «DIGITAL DIPLOMACY» : «POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING».

Morgane BRAVO, Fondatrice du HUB «DIGITAL DIPLOMACY» : «POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING».
2009 Création du HUB. From Paris, France. *Morgane BRAVO, Avocat de formation, études & expérience Diplomatique... Passionnée du Web depuis 1998, Geek 2.0, #Europe, #EU, #UE, #EURO, #ZoneEuro #Gov2.0 #Digital Diplomacy #Diplomatie Numérique @EcologieI #G20 #Gouvernance, #Opendata...*

jeudi 31 mai 2012

*Web2day...in France*



Web2day is a 2-day yearly event occuring in Nantes, dedicated to startups and technology topics. Several conferences, workshops and a startup competition are scheduled! More than 700 attendees are waiting during the event...

Bien à vous,


mercredi 30 mai 2012

*Semaine européenne de l'open data...France*

Semaine européenne de l'open data : que de chemin parcouru en deux ans.



 Il faut arrêter de se flageller, l’open data français n'est pas en retard. La preuve : d’ici à dix-huit mois, 11 des 15 premières villes qui l'ont adopté auront ouvert leurs données. » D’emblée, Charles Nepote, de la Fing (Fondation internet nouvelle génération) pose le ton de cette semaine européenne de l’open data, qui se déroule à Nantes. Son optimisme, il le doit également à tout ce qui a été réalisé depuis 2011.

Car au-delà des projets locaux menés par les collectivités, on peut citer la création d’un plate-forme nationale (data.gouv.fr), l’obtention d’un quasi-consensus autour des licences encadrant la réutilisation des données (structurée autour d’ODBL et de la licence ouverte) ou, plus original, l’ouverture pratiquée par certains organismes privés comme la SNCF ou Lyonnaise des eaux. A tout cela, bien sûr, s'ajoutent « les initiatives citoyennes qui s’emparent du sujet, telles que Regards citoyens ou la communauté OpenStreetMap », insiste, de son côté, Claire Gallon, de l’association LiberTic.

Des bénéfices d’ores et déjà tangibles pour les collectivités
Si les gains de l’open data restent encore complexes à mesurer dans leur globalité, il semble évident que les administrations en retirent des bénéfices concrets. « L’open data est un levier interne de modernisation des acteurs publics », explique Charles Nepote, qui avance en premier lieu la rénovation des systèmes d’information, elle-même induite par des efforts de recensement des données. Cette modernisation se manifeste également par un décloisonnement des services, désormais à même d’exploiter mutuellement leurs données. Enfin, elle s’inscrit dans une amélioration de la qualité des données, à l’image du chantier mené par le département de Saône-et-Loire (71). « Nous avons été un peu déçus par la faible exploitation de nos données par les citoyens. Mais ce projet aura permis, pour la première fois, de réaliser un inventaire de nos informations. Les différents services ont par ailleurs planché sur l’amélioration des processus de création des données », détaille Pierre-Paul Penillard, chef de projet open data au Conseil général 71.

Des difficultés nombreuses et connues

Pour autant, personne n’est dupe. Les difficultés restent légion, et bien connues. A commencer par le modèle économique des réutilisateurs. « Pour les développeurs d’applications, l’intérêt réside dans les retombées d'image dont ils peuvent bénéficier à l’issue des concours, et non pas dans des retours commerciaux directs », constate Pierre Gilliard, directeur général adjoint d’Aquitaine Europe Communication. La Fing souhaiterait d’ailleurs en finir avec l’obsession des applications. « L’open data ne doit pas être que mobile. Il pourrait aussi se déployer sur des panneaux d’affichage, dans les halls d’immeubles, ou dans les transports », espère Charles Nepote.

L’animation de communauté, indispensable

Autre difficulté, le travail indispensable d’animation à mener tant auprès des services internes de l’administration que des communautés amenées à consommer ces données et à développer des services. L’émulsion de cet écosystème très varié mobilise beaucoup de temps, d’énergie et souvent de gros moyens. Rennes, par exemple, a déboursé 50 000 euros en communication autour de son concours. Soit l'équivalent de la dotation du concours lui-même…

D’autres problématiques, tout aussi centrales, ont été abordées : le besoin de mutualiser les plates-formes à l’échelle régionale, le rôle et les retombées des concours d’application, les projets de standardisation de données ou encore les impacts juridiques de l’open data sur les collectivités. Autant de thèmes sur lesquels nous reviendrons."


Bien à vous,


mardi 29 mai 2012

*[INFOGRAPHIE] Baromètre de l’open data en France...mai 2012*

L’association LiberTIC et Communes.com ont interrogé les collectivités françaises engagées en matière d’ouverture de leurs données publiques, afin d’établir un baromètre de l’open data en France. 
"Notre idée était d’aller au-delà de la simple notion de quantité de données disponibles et de s’intéresser également à d’autres critères tels que la qualité, l’accessibilité, l’innovation ou encore la transparence démocratique des données. Cette infographie est le fruit de notre analyse et de notre collecte de données auprès des communes, départements et régions françaises, qui ont eu le courage de se lancer dans l’aventure de l’open data".

Bien à vous,

*Tim Berners-Lee va codiriger l’Open Data Institute britannique...Financé par l’État britannique*


L’inventeur du World Wide Web codirigera, avec le professeur Nigel Shadbolt, l’Open Data Institute qui ouvrira ses portes en septembre. 
Financé par l’État britannique, l’ODI étudiera et diffusera les meilleures pratiques d’exploitation du potentiel des données publiques ouvertes.

Tim Berners-Lee, directeur du W3C et inventeur du World Wide Web en 1989 lors de ses recherches à l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN), et Nigel Shadbolt, professeur d’intelligence artificielle à l’université de Southampton et architecte du portail data.gov.uk, vont prendre la direction du futur Open Data Institute (ODI).
« L’une des raisons pour lesquelles le web a fonctionné, c’est que les gens ont réutilisé leurs contenus d’une façon jamais imaginée par ceux qui l’ont créé. La même chose sera vraie de l’open data. L’Institut va nous permettre de fournir les outils, les compétences et les méthodes pour soutenir la création de valeur nouvelle à l’aide des données publiques ouvertes », a indiqué Sir Berners-Lee le mardi 22 mai.

L’État britannique investit 10 millions de livres dans l’ODI

Initié par le gouvernement britannique, l’Institut doit ouvrir ses portes à Shoreditch, à l’est de Londres, en septembre/octobre prochain. Ses équipes étudieront et diffuseront les meilleures pratiques en matière d’exploitation de données publiques ouvertes.
Par ailleurs, chaque année des compétitions seront organisées et des petites entreprises ayant montré leur potentiel en matière d’open data seront sélectionnées pour bénéficier d’un accompagnement. L’ODI formera également des spécialistes des données ouvertes et apportera son soutien à de très jeunes pousses du secteur.
Pour mener à bien ses missions, l’ODI va bénéficier d’un financement d’environ 10 millions de livres sterling sur cinq ans (12,5 millions d’euros). Le secteur privé est lui aussi appelé à investir dans le projet par le biais du mécénat, de bourses de recherche ou encore de dons.
Francis Maude, ministre au sein du Cabinet Office dirigé par le Premier ministre britannique, David Cameron, a déclaré par voie de communiqué : « Nous ne voulons pas seulement entraîner le monde à libérer les données gouvernementales, notre objectif est de faire du Royaume-Uni un modèle international en exploitant le potentiel des données ouvertes pour générer de nouvelles opportunités d’affaires et stimuler la croissance ».
Bien à vous,

dimanche 20 mai 2012

*UE : 2nd Digital Agenda Assembly...21 - 22 June 2012*

2nd Digital Agenda Assembly

Brussels
21 - 22 June 2012

Background information
The Digital Agenda for Europe is the European Union's roadmap for bringing the benefits of a digital society and economy to Europe's citizens. But it can only deliver if all stakeholders are involved in assessing problems and identifying solutions.

Objectives

The main objectives of the Assembly are to:
  • Assess progress to date on implementation towards the Digital Agenda's goals and actions and seek ways to improve delivery;
  • Identify challenges ahead for the implementation of the Digital Agenda and for the information society in general;
  • Mobilise stakeholders' actions to make further progress and address challenges.

Programme

The Assembly consists of an online engagement space launched ahead of the event, 8workshops on key Digital Agenda topics and a plenary session to report feedback on previous discussions and hold debates on the way forward. View the full draft programme online.

Bien à vous,

*Gouv20 Mai 2012 : « EdgeRyders » L'intelligence collective de la jeunesse...Conseil de l'Europe et la Commission européenne*


Conférence #Gouv20 webdiffusée en direct de webcom 2012 :

Par Lyne Robichaud - Présentation du projet EdgeRyders qui est conçu et parrainé par le Conseil de l'Europe et la Commission européenne. Cette plateforme communautaire en ligne a pour objectif de faciliter l'implication de la jeunesse européenne dans la définition collaborative des institutions politiques de demain...

#Gouv20 Mai 2012
http://www.youtube.com/playlist?list=PLAB3F7594F6E0C661&feature=plcp

*Edgeryders Conference : Council of Europe*

A european conference about transition and the youth; 
A distributed think-tank to influence the policy makers...

http://unioneuropeenne.blogspot.fr/2012/05/edgeryders-conference-council-of-europe.html



Bien à vous,

jeudi 17 mai 2012

*LIVE : Primer Encuentro de Humanistas Digitales en México*


Por primera vez en Latinoamérica, especialistas nacionales e internacionales abordarán la relación de las tecnologías de la información con las diversas áreas del conocimiento que abarcan las humanidades durante el 
1er Encuentro de Humanistas Digitales, 
que se realizará los días 17 y 18 de mayo en la Biblioteca Vasconcelos en la Ciudad de México.
A través de ponencias, sesiones de debate y presentaciones de proyectos, dirigidas a investigadores, docentes, estudiantes y público en general, se generará un espacio de colaboración y discusión sobre la creación y difusión del conocimiento a través de nuevas tecnologías.
Presentado en colaboración del Consejo Nacional para la Cultura y las Artes (Conaculta), la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM) y la Red de Humanidades Digitales (RedHD), este primer encuentro contará con la participación de personalidades como Dino Buzzeti, de la Universidad de Bologna, y Glen Worthey, de la Universidad de Stanford, quienes ofrecerán conferencias magistrales.
Dentro de las actividades, el Conaculta ofrecerá cuatro mesas: Aplicaciones literarias para iPad; Conaculta digital; Cerebros digitales y el proceso de digitalización del acervo, y El INAH y las tecnologías multimedia.
Los temas que se tratarán en el encuentro serán:
 Proyectos de recursos para las humanidades, marcado de textos, museos digitales, ediciones críticas digitales y tecnologías avanzadas para las Humanidades.
●   Diseño, manejo y uso de recursos digitales para las Humanidades.  
●   El papel de las Humanidades Digitales en la docencia.  
●    Las tecnologías y aplicaciones de cómputo para la investigación y la enseñanza en las Humanidades.  
 ●  Los distintos factores necesarios para tomar decisiones informadas acerca del diseño, manejo y uso de recursos digitales en las Humanidades.  
●     Áreas en donde el acceso, manipulación y análisis de recursos digitales puede beneficiar la investigación y enseñanza en las humanidades.  
●  Las tecnologías de la información en el contenido intelectual de las humanidades y sus posibilidades de experimentación.
Además, durante los dos días del encuentro se tratarán temas como la cultura digital, bases de datos, narrativas digitales, reconocimiento de voz, digitalización, ingeniería lingüística, realidad aumentada, text encoding, creatividad computacional y más.
Para más información se puede consultar el sitio http://www.humanidadesdigitales.net/index.php/encuentro o a través de la cuenta de Twitter: @Red_HD.

Bien à vous,

*France : Une "charte de déontologie" pour les ministres...*

Pas de cadeaux ni d'invitations privées, des déplacements en train autant que faire se peut et un strict respect du code de la route. C'est le premier acte politique du quinquennat de François Hollande : avant même de prendre leur première décision, symbolique en diable, de baisser leur propre rémunération de 30 %, les membres du gouvernerment Ayrault 1 se sont vus distribuer, dès le début de leur premier conseil des ministres, une "charte de déontologie" que Le Monde s'est procurée. A l'issue de ce conseil, tous auront signé ce règlement intérieur de la présidence "normale".
Rédigé par l'équipe chargée de préparer la première année de gouvernement, sous la houlette de Laurent Fabius, ce texte de deux pages, qui correspond à un engagement de campagne du candidat Hollande, a été revu par le président et le premier ministre. Evoquant "l'existence d'un lien de confiance entre les citoyens et ceux qui gouvernent" et constatant qu'"un manquement isolé peut, à lui seul,suffire à l'entamer durablement", il entend rappeler aux 34 ministres du gouvernement Ayrault 1, dont 29 n'ont jamais exercé de fonctions ministérielles,"quelques principes simples qui doivent guider [leur] comportement".
"PRINCIPE DE SOLIDARITÉ"
Les socialistes, ces dernières années, ont payé pour le savoir : l'expression publique de divergences politiques mine le collectif. "L'expression, directe ou indirecte, de désaccords ne peut qu'affaiblir le gouvernement et susciter le scepticisme des citoyens à l'égard de la crédibilité de l'action politique", note en premier lieu le texte. La consigne est donc formelle : "Une fois que la décision est prise", c'est le "principe de solidarité" qui primera.
Insistant sur la "concertation" et la "transparence", ce code de bonne conduite plaide également pour des ministres "à l'écoute des citoyens", entretenant "des relations suivies avec l'ensemble des partenaires institutionnels de leur ministère"et pratiquant "la consultation du public en utilisant les possibilités offertes par l'Internet". Il n'est certes point question, dans ce texte, du concept de "démocratie participative", cher à Ségolène Royal.
On s'en approche néanmoins : "Les projets de texte remis au président de la République et au premier ministre font apparaître les consultations menées, leur résultat et la façon dont elles ont conduit à amender le projet", note la charte. Laquelle, conformément à la tendance en vogue de l'open data, prône "une action déterminée pour la mise à disposition gratuite et commode sur Internet d'un grand nombre de données publiques".
ÉVITER LES CONFLITS D'INTÉRÊTS
Après que François Hollande, pendant toute sa campagne, a martelé la nécessité d'un "Etat impartial", en particulier pour séduire l'électorat centriste, la charte insiste logiquement sur cette règle. Les membres du gouvernement, afin de"prévenir tout soupçon d'intérêt privé", doivent remplir et signer, à leur entrée en fonction, "une déclaration d'intérêts", laquelle "est rendue publique".
Des règles précises sont édictées pour éviter les conflits d'intérêt. Les ministres doivent confier "la gestion de leur patrimoine mobilier à un intermédiaire agréé, sur la base d'un mandat garantissant qu'ils ne pourront intervenir directement dans cette gestion". Ils "s'abstiennent de donner suite à toute invitation pour un séjour privé qui émanerait d'un gouvernement étranger ou de personnes physiques ou morales dont l'activité est en relation avec leur département ministériel". Par ailleurs, les ministres s'engagent à remettre "au service des domaines, soit immédiatement, soit à l'issue de leurs fonctions, les cadeaux d'une valeur supérieure à 150 euros". Ils doivent renoncer à "toute participation à un organisme, même à but non lucratif, dont l'activité intéresse leur ministère" et, aussi, s'abstenir"absolument de toute intervention concernant la situation d'un membre de leur famille ou d'un proche".
Rappelant brièvement que les ministres doivent "renoncer aux mandats exécutifs locaux qu'ils peuvent détenir", la charte rappelle surtout que "seules les dépenses directement liées à l'exercice des fonctions sont prises en charge par l'Etat". Sous la férule du président normal, point de petits profits : les membres de l'équipe gouvernementale "disposant d'un logement de fonction déclarent l'avantage en nature correspondant", ou encore "privilégient le train pour les déplacements d'une durée inférieure à trois heures". La charte stipule enfin que "sauf contrainte particulière justifiant une escorte motocycliste, leurs déplacements en automobilese font dans la discrétion et le respect des règles du code de la route."

mercredi 16 mai 2012

*Le gouvernement du Québec s'engage sur la voie du gouvernement ouvert...*


 La ministre responsable de l'Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Mme Michelle Courchesne, annonce l'engagement du gouvernement à devenir un gouvernement ouvert et dévoile ainsi les actions qui seront mises en œuvre afin de donner suite au rapport « Gouverner ensemble » produit par le député de Verdun et leader adjoint du gouvernement, M. Henri-François Gautrin.
« La notion de gouvernement ouvert consiste à offrir aux citoyens la possibilité de consulter l'information publique dans des formats plus accessibles et plus conviviaux, à pouvoir se renseigner davantage sur les activités gouvernementales, à participer plus directement au processus décisionnel et à collaborer avec les acteurs gouvernementaux. Cette volonté du gouvernement contribuera à l'amélioration des services publics », a déclaré Mme Courchesne.
Les actions annoncées aujourd'hui se réaliseront d'ici décembre 2012. Elles se basent sur les principes fondamentaux du gouvernement ouvert, soit la transparence, la participation et la collaboration.
Le portail www.données.gouv.qc.ca sera mis en place dès juin et les données y seront publiées progressivement. Les visiteurs du portail pourront également indiquer les renseignements qu'ils désirent obtenir. La disponibilité de ces données permettra ainsi de perfectionner les services publics. Les conditions et les obligations d'utilisation des données seront définies par une licence afin de garantir l'accessibilité des données ouvertes.
Tableau de bord sur les projets informatiques
En juin, un tableau de bord sur l'état de santé des projets informatiques sera diffusé dans le portail des données ouvertes. « Ce tableau de bord qui sera mis à jour sur une base continue permettra de suivre l'évolution des dépenses du gouvernement dans les projets informatiques en toute transparence. Les citoyens, les parlementaires et les journalistes pourront donc vérifier le respect des échéanciers et des budgets octroyés à ces projets. La diffusion de ce tableau de bord s'inscrit en droite ligne avec l'adoption de la politique-cadre sur les ressources informationnelles. De plus, d'autres tableaux de bord interactifs suivront, notamment sur les suivis de grands projets gouvernementaux », a précisé la ministre Michelle Courchesne.
Un portail www.défis.gouv.qc.ca sera également mis en place et permettra de solliciter les réactions du public et de renforcer sa participation au suivi et à l'élaboration des services publics. Ainsi, les idées et les initiatives des citoyens pourront contribuer à l'amélioration de l'efficience de l'État.
Un plan d'action précisera les autres actions qui devront être entreprises pour compléter le déploiement des trois axes du gouvernement ouvert.
Un comité de gouvernance est créé afin de veiller à la mise en œuvre du déploiement du gouvernement ouvert dans l'administration québécoise. Ce comité sera constitué du Dirigeant principal de l'information, de la Secrétaire à la communication gouvernementale ainsi que de M. Henri-François Gautrin à titre de représentant du premier ministre.
« La mise en œuvre d'un gouvernement ouvert est un processus qui implique un engagement continu et soutenu. Grâce aux travaux du député Henri-François Gautrin et de son équipe, nous avons cerné les actions que nous devions mettre de l'avant à court terme pour que le Québec puisse se comparer avantageusement à d'autres États à travers le monde et soit ainsi une administration publique moderne », a conclu la ministre Courchesne.
Annexe 1 - Actions à court terme pour le gouvernement du Québec
Annexe 2 - Prototype du tableau de bord qui sera diffusé en juin
ANNEXE 1
ACTIONS À COURT TERME POUR LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC
Ces actions se réaliseront d'ici décembre 2012
  • Un plan de prise en charge des recommandations du rapport « Gouverner ensemble » du député Henri-François Gautrin;
  • Un plan d'action précisera les autres actions qui devront être entreprises pour compléter le déploiement des trois axes du gouvernement ouvert, soit la transparence (divulgation proactive), la participation et la collaboration;
  • La mise en place du portail de données ouvertes www.données.gouv.qc.ca dans lequel nous trouverons des premiers jeux de données de nature statistique et géomatique;
  • La publication d'un tableau de bord sur l'état de santé des projets informatiques dans le site www.données.gouv.qc.ca;
  • Une licence pour les données ouvertes afin de définir les conditions et les obligations d'utilisation dans le but de garantir l'accessibilité des données ouvertes;
  • Un plan de divulgation des données, c'est-à-dire des cibles de diffusion de jeux de données déterminées par période de temps, en vue de diffuser progressivement les données gouvernementales ouvertes dans le site www.données.gouv.qc.ca;
  • Une étude de comparaison sur l'ensemble des initiatives internationales en matière de gouvernement ouvert et de données ouvertes pour documenter les bénéfices de ces initiatives, ainsi que sur les modèles de mise en œuvre. L'objectif étant d'identifier les jeux de données les plus utiles pour les citoyens et les entreprises;
  • La mise en ligne d'une fonctionnalité d'échange sur le portail www.données.gouv.qc.ca qui permettra aux internautes d'indiquer au gouvernement les jeux de données ouvertes qu'ils désirent obtenir;
  • La mise en ligne d'un site Web www.défis.gouv.qc.ca qui permettra de solliciter les réactions du public et de renforcer sa participation à l'élaboration, au suivi et à l'évaluation des services publics;
  • La réalisation d'un dossier d'affaires visant la mise en place d'une plateforme de collaboration permettra de stimuler la collaboration entre les employés des ministères et des organismes gouvernementaux;
  • Le dépôt d'une politique-cadre et d'une directive concernant l'utilisation des médias sociaux par les employés du gouvernement qui visera à encadrer leur utilisation;
  • La mise en place d'un comité de gouvernance visant à veiller à la mise en œuvre du déploiement du gouvernement ouvert dans l'administration québécoise;
  • La mise en place d'un comité-conseil, formé d'intervenants de la société, afin de permettre au gouvernement d'obtenir une expertise complémentaire et un point de vue externe et avisé sur les orientations de mise en œuvre;
  • La mise en place d'un comité de partenaires gouvernementaux visant à assurer le déploiement du gouvernement ouvert dans toute l'administration québécoise.
L'ANNEXE 2 EST DISPONIBLE SUR LE SITEDU SECRÉTARIAT DU CONSEIL DU TRÉSOR
À L’ADRESSE :


*Le rapport « Gouverner ensemble »...Québec*



http://hub-reseauinternational.blogspot.fr/2012/05/le-rapport-gouverner-ensemble-quebec.html

Bien à vous,