Morgane BRAVO, Fondatrice du HUB «DIGITAL DIPLOMACY» : «POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING».

Morgane BRAVO, Fondatrice du HUB «DIGITAL DIPLOMACY» : «POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING».
2009 Création du HUB. From Paris, France. *Morgane BRAVO, Avocat de formation, études & expérience Diplomatique... Passionnée du Web depuis 1998, Geek 2.0, #Europe, #EU, #UE, #EURO, #ZoneEuro #Gov2.0 #Digital Diplomacy #Diplomatie Numérique @EcologieI #G20 #Gouvernance, #Opendata...*

samedi 31 décembre 2011

*Google perce dans les réseaux sociaux...*

Google+ séduit 625.000 nouveaux utilisateurs chaque jour selon un analyste.


Le 28 juin dernier, la Toile a découvert Google +. Ce réseau social devait signer la revanche du géant de la recherche en ligne sur Facebook. Plus important encore, il doit garantir sa pertinence à l'ère de l'Internet communautaire.
Six mois plus tard, Google + gagne 625 000 nouveaux utilisateurs par jour, selon une analyse publiée mercredi par Paul Allen, fondateur du site Ancestry.com et statisticien «non-officiel» de Google+. Selon ses calculs, la plate-forme communautaire de Google aurait aujourd'hui réuni plus de 62 millions de comptes. Mi-octobre, Larry Page, le cofondateur de Google et actuel directeur général du groupe Internet, annonçait avoir franchi le cap des 40 millions d'utilisateurs.
«Google + ajoute de nouveaux utilisateurs à un rythme très soutenu. C'est peut-être dû aux vacances, aux publicités télévisées, aux activations d'Android 4, aux célébrités et aux marques ou à une combinaison de tous ces facteurs», analyse Paul Allen dans une note publiée sur Google +.
Fort de ses observations, il estime que le service pourrait atteindre 100 millions de comptes fin février et dépasser les 400 millions de membres à la fin de l'année prochaine. Lancé en 2004, Facebook avait atteint les 100 millions de membres actifs en quatre ans, puis dépassé les 400 millions d'utilisateurs fin février 2010. En septembre dernier, le réseau social de Mark Zuckerberg a annoncé avoir dépassé les 800 millions de membres actifs.
Ces derniers se sont connectés au moins une fois à Facebook au cours des 30 derniers jours. Paul Allen prend en considération, lui, les comptes ouverts sur Google +, mais pas forcément en activité. Ils incluent, par ailleurs, des utilisateurs institutionnels, à l'instar d'offices de tourisme plutôt confidentiels, de sites spécialisés dans la cuisine indienne, des établissements comme le Collège des bernardins, des agences de voyage spécialisées dans le tourisme en camping-car ou des associations.

Améliorer le moteur de recherche

Pour Paul Allen, la croissance de Google  + devrait s'accélérer encore avec le développement du parc de smartphones Android et une intégration généralisée du service dans d'autres sites de Google. La plate-forme de partage de vidéos YouTube a ainsi été le premier service de Google à s'enrichir des fonctions communautaires de Google +. Elles permettent, par exemple, de voir quelles vidéos ont été partagées sur Google + par ses amis. Cette intégration va être capitale pour Google.
En effet, avant de partager un contenu (vidéo, article, lien) sur Google +, le service demande à l'internaute de cliquer sur son bouton «+1», équivalent du «j'aime» apposé par Facebook au bas de nombre de pages Web. Cette action permet à Google d'ajouter des informations «sociales» - à travers le vote ou l'approbation manuelle d'un internaute - à des contenus triés et organisés jusqu'ici de manière mécanique par l'algorithme de son moteur de recherche. Ainsi certains résultats de Google apparaissent déjà flanqués de petites notules indiquant «Loïc a partagé ce résultat sur Google+» ou «+1 de Mehdi pour ce résultat». Une façon pour Google d'affiner la qualité de ses résultats.

Bien à vous,

jeudi 22 décembre 2011

*Entreprise 2.0 : la nouvelle arlésienne ?...*

Proximité client, agilité organisationnelle et collaborateurs motivés : voilà les trois rêves de l’entreprise moderne qui sait utiliser les technologies numériques à son avantage et qu’on appelle "entreprise 2.0". Tout le monde en parle ! Pourtant personne ne la voit...

Un nouvel Eldorado
Grâce à des processus fluidifiés par la technologie, l’entreprise 2.0 voit ses collaborateurs s’organiser et se reconfigurer à la vitesse de l’éclair, par-delà les lourdeurs organisationnelles, pour satisfaire les désirs - même non exprimés - de clients devenus à ce point intimes et fidèles qu’on pourrait les appeler des amis. Du moins au sens Facebook du terme.
Preuve de l’attractivité de ce modèle : la totalité des entreprises du CAC 40 dispose aujourd’hui de sa page Facebook. Des pages Facebook où est organisée une véritable chasse aux "fans". Cadeaux, jeux et offres "privilège" y jouent le rôle traditionnel que l’échange de verroteries tient depuis des temps immémoriaux dans les relations d’amitié, du moins celles qui ne sont pas dénuées d’intentions mercantiles. Mais la présence sur Facebook ne fait pas l’entreprise 2.0.
Hormis cet activisme "facebookien" généralisé, l’entreprise 2.0 n’est pas une réalité. La très grande majorité des entreprises reste à la porte de cette terre paradisiaque. Il faut dire que la réalité de ces entreprises est bien différente, engluée qu’elles sont dans une informatique taylorienne héritée de quarante ans d’investissements considérables dans ce qu’on appelle les systèmes d’information, à la poursuite d’un autre rêve : l’entreprise rationalisée et optimisée par l’ordinateur.
Bref, on l’aura compris, développer une organisation fluide, proche des clients et valorisant les initiatives de terrain prises par des collaborateurs motivés et responsabilisés est peu compatible - pour ne pas dire antagoniste - avec une informatisation procédurale qui séquence dans les moindres détails les avancées des tâches au fur et à mesure.
C’est en ne comprenant pas la nature profonde de l’informatique sociale (dite 2.0) - que les entreprises s’obstinent à prendre pour une "techno de plus" -, que les entreprises échouent dans leur désir de changement. La tête rêve de fluidité, de collaboration, d’ouverture et de confiance généralisée alors que les réflexes s’enracinent dans la capitalisation, la concurrence, l’individualisation, le contrôle et la normalisation.  
The power of us : la nouvelle donne
Lorsque nous avons tenté de décrire dans les colonnes des Échos en 2005, cet incroyable phénomène de mobilisation du collectif grâce aux outils du web, en nous appuyant sur un article fondateur intitulé "The power of us", nous avons parlé d’une "nouvelle économie". Une économie fondée sur une nouvelle ressource, inépuisable celle-là, la collaboration entres les individus et les groupes (communautés). Un incroyable retournement de balancier. Au moment où le capitalisme boursier triomphant semblait devenir l’ultime modèle, où même les banques et assurances issues du mouvement mutualiste finissaient par s’y conformer, on nous annonçait le retour d’une utopie collaborative.
Même débarrassée de tout relent collectiviste, cette utopie libérale-libertaire qui se développait dans la Silicon Valley depuis plus de trente ans promettait de réenchanter le monde. Pensez donc, on en venait à prendre pour possible de faire émerger une encyclopédie universelle à partir des contributions volontaires, gratuites d’individus non experts. Oui, assurément, Wikipedia et d’autres furent bien un séisme !
Deux modèles d’organisation, deux types d’entreprise ?
S’il est croustillant de voir, en période boursière chahutée, les entreprises issues ou du mouvement mutualiste (banques, assurances…) ou de l’économie sociale et solidaire s’apercevoir qu’elles pourraient trouver un avantage à réinvestir leurs fondamentaux coopératifs au travers du "2.0", il est en revanche surprenant de constater que les entreprises classiques (au management prônant la performance individuelle) se ruent vers le même modèle sans s’apercevoir qu’il n’est pas fait pour elles, sauf à changer d’identité. De la même manière qu’une entreprise naît low cost, mais ne le devient pas ; une entreprise naît sociale, elle ne le devient pas, sauf à changer de nature.
Les efforts des entreprises classiques vers le 2.0 ressortent pour l’instant de l’action cosmétique. Gageons que cet état des lieux n’est pas près de changer. L’informatique sociale (2.0) n’est naturelle que pour les entreprises sociales. Les entreprises du CAC 40 veulent-elles devenir sociales ? Voilà une question essentielle avant toute conversion au "2.0".
Nous sommes face à des modèles managériaux antagonistes. Antagonisme qui se retrouve dans l'informatique. L’informatique 2.0 est aux antipodes de l’informatique 1.0. Facebook n’a rien à faire avec SAP ! Croire le contraire condamne à une expérience longue et douloureuse. Une expérience d’autant plus inutile que le terme "2.0" est trompeur. Il fait penser à une supériorité évidente par rapport au modèle 1.0.
Si la démonstration est faite pour certaines réalisations (Wikipédia est démonstratif à cet égard), elle est loin d’avoir été démontrée dans tous les pans de l’économie. Par ailleurs, les défauts du modèle collaboratif sont connus. Si nous espérons tirer des collaborations spontanées entre collègues au sein de communautés plus ou moins virtuelles une performance collective inégalée, notre naïveté pourrait bien nous ramener très vite aux guerres de chapelles, au jargon professionnel, au bizutage des nouveaux… dont l’histoire managériale a pourtant gardé la mémoire. L’évolution vers davantage de collaboration n’est pas un chemin semé de roses. Ni pour les entreprises sociales, ni pour les autres.

*Une informatique plus intelligente : Quand l'informatique intègre l'intelligence. 2éme épisode*


Chaque donnée introduit l'informatique. L'informatique est partout, et les possibilités innovantes qu'il permet sont grandes pour les entreprises et dans le monde d’aujourd’hui...

Bien à vous,

vendredi 16 décembre 2011

*La fracture numérique présentée aux chefs d’entreprise...*

L'auteur du rapport public sur la fracture numérique, Joël Hamelin en a présenté les conclusions aux chefs d'entreprise de la commission assistance informatique du SESP. Rôle d'insertion sociale de l'accès à l'Internet et taux d'équipement des domiciles étaient au coeur des échanges.
Près d'un tiers des Français ne disposent pas d'un accès à l'Internet à partir de leur domicile. Ce constat était au coeur des échanges avec les chefs d'entreprises à la suite de la présentation par Joël Hamelin, l'un des auteurs du rapport public du Centre d'analyse stratégique (CAS), présenté dans le cadre des travaux de la commission NumériSAP 2.0 du Syndicat des entreprises de service à la personne (SESP), le 14 décembre dans les locaux de la FESP, à Paris

Trois fossés numérique
Trois fossés numériques ont été repérés par les auteurs du rapports. Le premier fossé est d'ordre générationnel avec des personnes âgées laissées en marge des technologies de l'information et de la communication (TIC). Moins de 17 % des personnes de plus de 75 ans disposent à leur domicile d'un ordinateur alors que, par ailleurs, quatre personne sur dix âgées de 55 à 64 ans ne sont toujours pas équipées à leur domicile.Le deuxième fossé est social et voit l'exclusion des TIC des ménages les plus démunis, à faible revenus, faible niveau de dplôme ou encore composés de personnes inactives non diplômées.Troisième fossé numérique, le fossé culturel prive les moins instruits des opportunités de l'outil informatique. Soulignant que si cet aspect lié à l'éducation apparaît moins important que les deux précédents en termes d'accès au réseau, il est significatif en termes d'usages, Joël Hamelin explique qu'une "pleine exploitation des outils numériques nécessite des connaissances et des compétences loin d'être encore maîtrisée par tous."
Des propositions pour l'équipement du domicile
Constatant que la présence d'un enfant au foyer double la probabilité d'équipement de celui-ci en ordinateur, les rapporteurs établissent par ailleurs une corrélation entre de moindres résultats scolaires et l'absence d'ordinateur au domicile. Ainsi les propositions développées dans le cadre de la commission NumériSAP 2.0 mettent en avant un nécessaire effort des pouvoirs publics pour l'équipement des foyers, notamment les plus modestes, la mise en oeuvre de formations adaptées pour les plus jeunes ou encore l'adoption de programmes d'accompagnement personnalisés pour les personnes âgées notamment pour bénéficier de suivis médicaux à distance leur permettant de rester chez elles plus longtemps.

* « Quel rôle pour les entreprises dans la promotion de la cohésion sociale »*


Le Centre d’analyse stratégique et la Direction générale de la cohésion sociale poursuivent leur cycle de séminaires commun consacré aux acteurs de la cohésion sociale par une séance consacrée aux entreprises. Ces dernières sont souvent oubliées dans la longue liste des acteurs de la cohésion sociale. Le récent baromètre de la cohésion sociale publié en juin 2011 en fournit une nouvelle illustration puisque seulement 1% des personnes interrogées considèrent que les entreprises sont bien placées pour améliorer la cohésion sociale . Sans surprise, c’est sur les pouvoirs publics – Etat et collectivités territoriales – que reposent les attentes de l’opinion en la matière. Pourtant, dans le même temps, 90% des sondés estiment que la cohésion sociale contribue à améliorer la compétitivité économique d’un pays. L’objet de cette troisième séance de notre cycle est précisément de mieux comprendre la contribution des entreprises aux politiques sociales.

Aujourd’hui, les entreprises sont en effet de plus en plus investies dans le champ social. Leur rôle social s’incarne traditionnellement dans le respect d’un certain nombre d’obligations légales, notamment en matière de dialogue social, d’aides aux salariés ou d’emploi des personnes handicapées. Mais la montée du thème de la « responsabilité sociétale des entreprises » illustre depuis une trentaine d’années une autre forme de contribution à la cohésion sociale. L’implication croissante des entreprises sur la base d’actions volontaires recouvre ainsi, d’une part, des actions de promotion de la diversité et, d’autre part, des formes d’adaptation de l’offre de biens et services dans une logique d’inclusion sociale. Cette forme d’engagement volontaire permet de concilier les intérêts stratégiques des entreprises et les attentes de la société civile en matière d’implication sociétale.

Plus d'info :

Sénat.Hebdo, le magazine vidéo du Sénat (16/12/2011* France

Au sommaire de Sénat.Hebdo :
- L’examen du 4ème collectif budgétaire pour 2011
- et la proposition de résolution tendant à modifier le règlement du Sénat.
Mais aussi :
- Les questions cribles thématiques sur la compétitivité de la France
- La mission d'information sur la taxe professionnelle.



Bien à vous,

mercredi 14 décembre 2011

*ISO 26000 pour les Métiers de la communication...*


Interview de Frédéric Petit - animateur du groupe de travail AFNOR « ISO 26000 et métiers de la communication » - Directeur développement durable -- RSE - SIDIESE
 http://www.afnor.org


*Iso 26000 : la Responsabilité Sociétale pour tous...RSE*

http://developpementdurablexxis.blogspot.com/2011/12/iso-26000-la-responsabilite-societale.html


Bien à vous,


*Échange du Président de la République Française avec des entrepreneurs d'internet et des salariés de Google...*


Visite inaugurale du nouveau siège de Google France  

Échange du Président de la République avec des entrepreneurs d'internet et des salariés de Google.
http://hub-reseauinternational.blogspot.com/2011/12/nn-sarkozy-inaugure-les-nouveaux-locaux.html


UMP et internet ... quelques députés essaient de faire bouger les lignes :

Le Monde du 9 décembre
DeputeTardy Lionel TARDY

Député de la 2ème circonscription de la Haute-Savoie
http://www.lioneltardy.org


Bien à vous,

mardi 13 décembre 2011

*Réseau social : la Russie ouvre les bras à Viadeo...*


Viadeo investit l’Europe de l’Est : le réseau social BtoB vient d’ouvrir un bureau en Russie et de créer une co-entreprise, avec Sanoma Independent un poids lourd des médias professionnels russes.


Viadeo ne cache pas son envie d’expansion. Fort de plus de 40 millions de membres dans le monde, le réseau social professionnel français, déjà disponible en 6 langues, a annoncé l’ouverture d’un bureau en Russie et la création d’une joint venture avec Sanoma Independent Media (SIM), un des plus importants groupes médias russes BtoB, et filiale de Sanoma Magazines International (SMI).
SIM apporte ainsi aux professionnels une série de services offline et online, à travers des publications comme Vedomosti et Vedomosti.ru, un journal financier développé avec Pearson et Dow Jones, la Harvard Business Review  
ou encore le portail d’informations professionnelles rb.ru.Fortement implanté en Russie, Sanoma Independent Media rayonne aussi dans une large partie de l’Europe de l’Est (Bulgarie, Hongrie, Roumanie).
A travers la création de cette co-entreprise et l’ouverture d’un bureau en Russie, Viadeo démontre son intention de s’implanter sur des marchés en pleine expansion.
Viadeo va ainsi combiner ses forces avec l’expertise du site www.rb.ru de SIM pour créer, en direction du marché russe, des services professionnels dédiés.
Basé à Paris, le réseau social BtoB dispose déjà de bureaux aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie, mais aussi en Chine, en Inde, au Mexique et au Sénégal.
Viadeo a ainsi affiché une croissance de 60% en Chine entre septembre 2010 et 2011 (500 millions de membres), de 35% en Inde (142 millions de membres) et de 20% au Brésil (76 millions de membres).
En Russie, la plate-forme française dispose d’une base potentielle de 51 millions d’utilisateurs. Selon une étude ComScore  datant de septembre dernier, c’est en Russie que l’on compte le plus grand nombre de visiteurs uniques en Europe.
Les internautes russes sont également ceux qui passent le plus de temps sur les réseaux sociaux, soit, en moyenne, 10,4 heures par mois…


21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle!2.0
Bien à vous,